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Un homme de bien n'a ni soucis ni crainte. (Confucius) |
Parlons des choses heureuses, pour ce qui est de la peine, pas la peine d'en parler. (Jacques Prévert) |
Le bonheur, c’est le moment où on ne souffre pas. (Bobbejaan Schoepen, chanteur-guitariste belge dans HUMO 2005) |
Il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes, il n'y a que de mauvais cultivateurs. (Victor Hugo) |
Ne prends rien au sérieux, ni toi, ni les autres, ni rien en ce monde et dans l'autre. (Georges Fourest) |
Si les hommes savaient ce qu’ils disent les uns des autres, il n’y aurait pas quatre amis dans le monde. (Blaise Pascal) |
Personne n'est meilleur que l'autre. Elles sont toutes différentes. |
Je me plains parce que je n'ai pas de chaussures sur mes pieds. Et puis j'ai rencontré un homme sans pieds. |
Ne faites pas à autrui ce que vous ne voulez pas qu'on vous fasse à vous-même. ( Confucius) |
Le vrai savoir, c'est de reconnaitre qu'on sait ce qu'on sait, et qu'on ne sait pas ce qu'on ne sait pas. |
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. (Nietzsche) |
L'homme le plus intelligent dans son domaine peut être le plus bête dans d'autres. (Alfred Camus) |
Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire. |
Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le cœur. L'essentiel est invisible pour les yeux. (Antoine de Saint-Exupéry) |
On n'est jamais si heureux ni si malheureux qu'on s'imagine. (La Rochefoucauld) |
Il y a l'âge qu'on a, celui que l'on parâit et celui qu'on se donne. L'âge qu'on a est sans intérêt. Celui qu'on paraît me semble importer davantage, mais ce qui doit compter le plus, c'est l'âge que l'on croit avoir, selon lequel on agit. (Jaccottet) |
Il faut toute la vie pour apprendre à vivre. (Sénèque) |
Portrait du Bon Français vu par lui-même: Sportif, surtout à la télé Révolutionnaire...au café du coin Incrédule, sauf en politique Gastronome, surtout à l'étranger Solidaire des causes perdues...dans son fauteuil Critique les autres quand il est chez lui Critique chez lui quand il est chez les autres Cartésien même "le nez dedans" Plus concerné par l'arrivée du Beaujolais nouveau, que par une crise économique A inventé le système D et le laisse exploiter par les autres Éponge le pétrole sur les plages, persuadé qu'il a des idées N'aime pas son pays, mais ne vivrait pas ailleurs. (Mais il a de la générosité plein son coeur et surtout, il ne se prend jamais au sérieux). |
SI - Rudyard KIPLING (1865-1936)
Traduction française d'André Maurois dans "Les silences du Colonel Bramble" Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie Et sans dire un seul mot te mettre à rebâtir, Ou perdre en un seul coup le gain de cent parties Sans un geste et sans un soupir; Si tu peux être amant sans être fou d'amour, Si tu peux être fort sans cesser d'être tendre, Et, te sentant haï, sans haïr à ton tour, Pourtant lutter et te défendre; Si tu peux supporter d'entendre tes paroles Si tu sais méditer, observer et connaître,
Si tu peux rencontrer Triomphe
après Défaite |
IF (Rudyard KIPLING)
It is said that Kipling wrote this poem with Dr Leander Starr Jameson in mind. If you can keep your head when all about you, Are losing theirs and blaming it on you; If you can trust yourself when all men doubt you, But make allowance for their doubting too; If you can wait and not be tired by waiting, Or being lied about, don't deal in lies, Or being hated, don't give way to hating, And yet don't look too good, nor talk too wise: If you can dream -- and not make dreams your master;
If you can make one heap of all your winnings
If you can talk with crowds and keep your virtue,
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