Un musicien serait-il flatté par les applaudissements nourris d'un public, s'il savait que presque tous les spectateurs sont sourds et que, pour dissimuler leur maladie, ils se mettent à applaudir bruyamment dès qu'ils voient une ou deux personnes le faire ? (Arthur Schopenhauer)
Qu'est-ce que le bonheur, sinon l'accord vrai entre un homme et l'existence qu'il mène. (Albert Camus)
Tu n'es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis. (Victor Hugo)
Le courage n'est pas l'absence de peur, c'est la capacité à vaincre cette peur. (Nelson Mandela)
Le mariage est un dîner qui commence par le dessert. (Jules Sandeau)
Un homme de bien n'a ni soucis ni crainte. (Confucius)
Parlons des choses heureuses, pour ce qui est de la peine, pas la peine d'en parler. (Jacques Prévert)
Le bonheur, c'est le moment où on ne souffre pas. (Bobbejaan Schoepen, chanteur-guitariste belge dans HUMO 2005)
Chaque coup de colère est un coup de vieux, chaque sourire est un coup de jeune. (proverbe Chinois)
Mes amis, retenez ceci, il n'y a ni mauvaises herbes ni mauvais hommes. Il n'y a que de mauvais cultivateurs. (Victor Hugo dans Les Misérables)
Ne prends rien au sérieux, ni toi, ni les autres, ni rien en ce monde et dans l'autre. (Georges Fourest)
Si les hommes savaient ce qu'ils disent les uns des autres, il n'y aurait pas quatre amis dans le monde. (Blaise Pascal)
Personne n'est meilleur que l'autre. Elles sont toutes différentes.
Je me plains parce que je n'ai pas de chaussures sur mes pieds. Et puis j'ai rencontré un homme sans pieds.
Ne faites pas à autrui ce que vous ne voulez pas qu'on vous fasse à vous-même. ( Confucius)
Le vrai savoir, c'est de reconnaitre qu'on sait ce qu'on sait, et qu'on ne sait pas ce qu'on ne sait pas.
Ce qui ne me tue pas me rend plus fort. (Nietzsche)
L'homme le plus intelligent dans son domaine peut être le plus bête dans d'autres. (Alfred Camus)
Il faut deux ans pour apprendre à parler et toute une vie pour apprendre à se taire.
Voici mon secret. Il est très simple: on ne voit bien qu'avec le coeur. L'essentiel est invisible pour les yeux. (Antoine de Saint-Exupéry)
On n'est jamais si heureux ni si malheureux qu'on s'imagine. (La Rochefoucauld)
Il y a l'âge qu'on a, celui que l'on parâit et celui qu'on se donne. L'âge qu'on a est sans intérêt. Celui qu'on paraît me semble importer davantage, mais ce qui doit compter le plus, c'est l'âge que l'on croit avoir, selon lequel on agit. (Jaccottet)
Il faut toute la vie pour apprendre à vivre. (Sénèque)
Il est impossible de vivre sans ne jamais échouer, sauf si tu fais tellement attention, que tu ne vis pas du tout. Dans ce cas, tu échoues par défaut. (J.K. Rowling)
Portrait du Bon Français (vu par lui-même)
Sportif, surtout à la télé
Révolutionnaire...au café du coin
Incrédule, sauf en politique
Gastronome, surtout à l'étranger
Solidaire des causes perdues...dans son fauteuil
Critique les autres quand il est chez lui
Critique chez lui quand il est chez les autres
Cartésien même "le nez dedans"
Plus concerné par l'arrivée du Beaujolais nouveau, que par une crise économique
À inventé le système D et le laisse exploiter par les autres
Éponge le pétrole sur les plages, persuadé qu'il a des idées
N'aime pas son pays, mais ne vivrait pas ailleurs.
(Mais il a de la générosité plein son coeur et surtout, il ne se prend jamais au sérieux).
SI - Rudyard KIPLING (1865-1936)Traduction française d'André Maurois dans "Les silences du Colonel Bramble" (une libre adaptation du poème original en anglais) Si tu peux voir détruit l'ouvrage de ta vie
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IF (Rudyard KIPLING)The original poem by Rudyard Kipling. It is said that Kipling wrote this poem with Dr Leander Starr Jameson in mind. If you can keep your head when all about you,
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Autres traductions de ce poème (plus fidèles à l'original) ici.
Liberté (lu par Paul Eluard lui-même avec sa traduction en anglais)